Vocabulaire général du cloud

  • Cloud computing

Le cloud computing désigne un système de serveurs permettant aux utilisateurs de partager des informations et d’utiliser des logiciels à distance.

  • Cloud privé

Un cloud privé est destiné exclusivement à une organisation, qui peut le manipuler elle-même, ou faire appel à services fournis par des tiers.

  • Cloud public

Un cloud public est mis à disposition du grand public. Il peut l’utiliser mais non l’administrer.

 

La technique

  • Virtualisation

La virtualisation consiste à faire fonctionner une ou plusieurs applications comme un simple logiciel, sur un ou plusieurs serveurs, au lieu de ne pouvoir en installer qu’un seul par machine.

  • Machine virtuelle

C’est une illusion d’appareil informatique. On simule la présence de ressources matérielles et logicielles. Unemachine virtuelle tourne donc comme un PC avec :

- un système d’exploitation

- une configuration (réseau, droits, …)

- des logiciels

  • Clonage

Cloner une machine virtuelle revient à la copier en changeant un minimum de paramètres comme l’adresse IP par exemple. Cela peut, par exemple, permettre la livraison d’un produit pré-installé et pré-configuré.

 

Les différents types d’offres

  • IaaS

IaaS ou Infrastructure as a Service est l’offre de plus bas niveau. Cela consiste à offrir un accès à un parc informatique virtualisé. Des machines virtuelles sur lesquelles le consommateur peut installer un système d’exploitation et des applications.

Le consommateur est ainsi dispensé du coût d’achat de matériel informatique
  • PaaS
Avec une offre PaaS ou Platform as a Service, situé juste au-dessus du précédent, le système d’exploitation et les outils d’infrastructure sont sous la responsabilité du fournisseur.
Le consommateur a le contrôle sur les applications et peut ajouter ses propres outils.
 
La situation est analogue à celle de l’hébergement web mais avec la souplesse en plus.
  • SaaS

SaaS (Software as a Service) désigne un type de service dans lequel des applications sont mises à disposition des consommateurs.

Les applications peuvent être manipulées à l’aide d’un navigateur web, et le consommateur n’a pas à se soucier d’effectuer des mises à jour, des patches de sécurité et d’assurer la disponibilité du service ainsi que l’exploitation du service, y compris de la plateforme et de l’infrastructure.

Source : Demain le Mail